J’ai oublié ou Un contre-Perec en toute immodestie, par Jocelyne Tsanga

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A travers les pièces du puzzle de sa mémoire, Jocelyne Tsanga nous invite à renouer avec la nostalgie des souvenirs que nous portons tous au fond de nous, plus ou moins bien enfouis, mais toujours prêts à resurgir, à l’évocation d’un lieu, d’une personne, d’une situation.

58 pages.

C’est en 1978 que Georges Perec fait paraitre, adoptant une prose fragmentée, « Je me souviens », un recueil de bribes de souvenirs.

Professeure de Lettres, Jocelyne Tsanga a choisi la même forme littéraire du fragmentpour nous offrir ses propres souvenirs, réflexions et évocations personnels. Et c’est en toute immodestie, comme elle le signale elle-même dans le titre de son ouvrage, qu’elle se place sous le parrainage bienveillant de Georges Perec, intitulant son texte « J’ai oublié »…

A travers les pièces du puzzle de sa mémoire, Jocelyne Tsanga nous invite à renouer avec la nostalgie des souvenirs que nous portons tous au fond de nous, plus ou moins bien enfouis, mais toujours prêts à resurgir, à l’évocation d’un lieu, d’une personne, d’une situation. Elle nous persuade de l’accompagner dans ses réminiscences de l’enfance, de sa vie d’enseignante, de maman… Avec une fraîcheur de style qui se renouvelle à chaque oubli ressuscité.

Milan Kundera a écrit : « Le souvenir n’est pas la négation de l’oubli. Le souvenir est une forme de l’oubli ». Avec Jocelyne Tsanga, il faut désormais ajouter que « l’oubli est une forme de souvenir ».

 

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